Zapping Autonews Les 10 modèles incontournables de l'année 2021
Tout a commencé en France, en 1896, avec l’inventeur Léon Bollée. Ce dernier va alors créer un tricycle à moteur où le passager est installé devant le conducteur. C’est d’ailleurs cette particularité qui lui vaudra son nom de “tue belle-mère” (on savait rire à l’époque).
Ce genre de modèles va commencer à se démocratiser avec notamment la venue de Louis Renault, vainqueur de la Coupe des chauffeurs, en 1899. Cette compétition réservée aux voiturettes va marquer le point de départ d’une nouvelle industrie en parallèle de l’automobile classique.
Mais en 1925, l’État français va supprimer les avantages fiscaux accordés à ce type de voiturettes. Une mesure qui va mettre fin à la première ère des voitures sans permis.
Ce n’est qu’en 1949, du côté du Royaume-Uni que son essor va reprendre grâce à la Minicar à trois roues du constructeur automobile Bond.
La France, quant à elle, retrouvera la voiture sans permis sur ses routes dans les années 70 avec l’émergence d’Arola. Le constructeur sera alors très vite rejoint par Ligier, pourtant habitué aux Formule 1 et autres voitures GT.
Depuis, la voiture sans permis fait partie intégrante du paysage automobile français et international et son succès ne cesse de grandir.