Assurance auto : le taux de malus maximum
Jusqu’où est-il possible d’être « malussé » ? Découvrez le taux de malus maximum applicable ainsi que le retour au bonus-malus neutre. On fait le point.
Jusqu’où est-il possible d’être « malussé » ? Découvrez le taux de malus maximum applicable ainsi que le retour au bonus-malus neutre. On fait le point.
À quel point est-il possible d’être malussé, et pendant combien de temps au maximum ? Si les aléas de la vie tendent malheureusement à faire grimper votre taux de malus, vous serez tout de même soulagé d’apprendre que le taux de malus est plafonné. Mieux encore, qu’il est remis à zéro au bout d’un certain temps.
Comme vous le découvriez avec notre volet sur le système bonus-malus, le coefficient de réduction-majoration (CRM) de votre contrat d’assurance auto peut dégringoler bien plus facilement qu’il ne gagne en bonus, en subissant un malus de 25% en cas de sinistre responsable, et 12,5% en cas de sinistre partiellement responsable. Mais pas de panique, car votre malus ne peut être supérieur à 250%, soit un CRM de 3,50, ce qui est déjà largement suffisant pour être dans une impasse lorsque vous tenterez de souscrire auprès d’une compagnie d’assurance (sur-sur-surprime, ou tout simplement refus de vous assurer). Par exemple, pour une prime de 90€/mois, un CRM de 3,50 porte ce montant à 315€ ! Dans ce cas-là, il existe des assureurs spécialisés pour les conducteurs malussés ou résiliés, mais attention : vous paierez le prix fort. Bon à savoir : après deux années consécutives sans déclarer de sinistre, votre CRM est automatique remis à 1, soit ni bonus ni malus.
Comme vous le découvriez avec notre volet sur le système bonus-malus, le coefficient de réduction-majoration (CRM) de votre contrat d’assurance auto peut dégringoler bien plus facilement qu’il ne gagne en bonus, en subissant un malus de 25% en cas de sinistre responsable, et 12,5% en cas de sinistre partiellement responsable. Mais pas de panique, car votre malus ne peut être supérieur à 250%, soit un CRM de 3,50, ce qui est déjà largement suffisant pour être dans une impasse lorsque vous tenterez de souscrire auprès d’une compagnie d’assurance (sur-sur-surprime, ou tout simplement refus de vous assurer). Par exemple, pour une prime de 90€/mois, un CRM de 3,50 porte ce montant à 315€ ! Dans ce cas-là, il existe des assureurs spécialisés pour les conducteurs malussés ou résiliés, mais attention : vous paierez le prix fort. Bon à savoir : après deux années consécutives sans déclarer de sinistre, votre CRM est automatique remis à 1, soit ni bonus ni malus.