Zapping Autonews Origine France Factory #1 : découverte de la Nouvelle Yaris
Oui, c’est évident, Aixam n’avait pas beaucoup de légitimité à se lancer sur le marché des supercars. Et si vous n’avez jamais entendu parler de ce modèle auparavant, il y a une bonne raison.
Eh non, ce n’est pas la belle histoire du jour. Ce n’est pas le récit dans lequel le héros se jette dans l'inconnu et où tout lui réussit. Là, il est plutôt question d’un échec cuisant.
En 1992, alors que la firme spécialisée dans le sans permis connaît un succès notable, l’envie lui prend de se lancer dans les grosses sportives de luxe. Mauvaise idée.
“Quitte à se lancer dans ce projet, autant y aller à fond”, voilà la probable doctrine de l’époque d’Aixam.
Un bateau tout-terrain surpuissant
2,3 tonnes ! On est effectivement très loin des supersportives en fibre de carbone, mais ce n’est pas tout. 5,07 mètres de long pour 2,25 mètres de large. C’est presque un bel appartement parisien (allez, une chambre de bonne). Difficile donc d’imaginer cette immense machine réaliser des performances tonitruantes.
Sauf que Aixam place dans ce monstre un V12 développant 408 chevaux, donc, pourquoi pas. Mais non en fait, car pour se procurer l’engin, il fallait débourser… 2.000.000 de francs, soit environ 305.000€. Autant dire que l’histoire a rapidement fait pschitt...
Le reste vous est raconté par les gars de chez Vilebrequin, attention, accrochez-vous, d’autres surprises vous attendent.