Zapping Autonews Autonews Event : focus sur la 13e traversée de Paris
Le gazole est, comme chacun le sait, issu du pétrole mais se doit d’être modifié pour devenir le carburant que l’on connaît. Pour cela, il ne faut pas moins de 200 composés chimiques différents !
Pas étonnant que cela ne sente pas la rose me direz-vous. Mais l’essence du “problème” se trouverait dans seulement 3 types de composants particuliers.
Les 3 coupables de la puanteur
Tout d’abord les éléments soufrés. Ces derniers sont en effet les principaux fautifs. À titre de comparaison, l’œuf pourri ou bien l’ail avarié, sont des aliments qui possèdent une effluve semblable.
Viennent ensuite les composés naphtaliniques (qui contiennent de la naphtaline). Toujours pour vous faire une idée, c’est l’odeur que l’on retrouve par exemple dans les produits antimites…
Enfin, toujours selon nos confrères de RMC, les derniers de la bande incriminés sont les composants azotés. Un peu moins présents que leurs deux compères cités au-dessus, ils dégagent tout de même une odeur particulière. Un poisson avarié, cela vous donne une idée ?
Tout ça pour un cocktail explosif.
Un avantage malgré tout
Ce parfum, aussi désagréable soit-il, possède tout de même une utilité en terme de sécurité routière. Spécialement pour les motards qui sauront ainsi être plus facilement prévenus du danger sur la route lorsque cette odeur fera son apparition, et dès lors éviter tout risque de glissade.