Zapping Autonews Voiture hydrogène : comment ça marche ?
Jusqu’à ce 1er mars, il suffisait de passer l’examen du code de la route classique (et le réussir !) pour prétendre passer le permis moto. Cette époque est désormais révolue. En effet, les motards ont maintenant leur propre code à passer. Fini l’examen théorique général (ETG), place à l’examen théorique motocycliste (ETM). Le format reste toutefois identique : 35 bonnes réponses attendues sur 40 questions.
Plateau plus rapide, examen plus long
Alors que les épreuves du “plateau” (examen hors circulation) étaient auparavant réalisées les unes après les autres, elles seront désormais accomplies en une seule fois. Les candidats disposent toujours de deux essais pour réussir le plateau, seul petit changement, ils peuvent poser le pied au sol à trois reprises (contre 2 avant).
Concernant l’examen en circulation, celui-ci passe d’environ 25 minutes (voire moins) à 40 ! Il sera agrémenté des vérifications de sécurité, greffées au plateau jusqu’ici. Enfin, le nombre de points à obtenir passe de 17 à 21, sur la même grille de notation.
Une période de transition
Si la date officielle du nouveau format est fixée au 1er mars 2020, une période de transition est mise en place jusqu’au 31 août. Les motards titulaires de l’ETG depuis moins de 5 ans ne seront pas contraints de passer l’ETM, la nouvelle formule du code. Par ailleurs, les candidats ayant obtenu leur plateau avant le 1er mars auront jusqu’au 31 août pour obtenir l’examen final. Sinon, ils devront passer l’ETM.