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Le 22 novembre 2019 à La Mesnière (Orne), les gendarmes interceptent un automobiliste en excès de vitesse. Sur une portion de route limitée à 110 km/h, la vitesse du chauffard a été retenue à 162 km/h. Le calcul est vite fait, l’infraction constitue une contravention de 5ème classe. D’ailleurs, les militaires ont retiré le titre du conducteur sur-le-champ.
Une décision contestée
Lors du procès de l’Alençonnais, la préfète de l’Orne décide de suspendre son permis de conduire pour une durée de 6 mois. Rappel, pour un excès de vitesse de plus de 50 km/h, la suspension du titre de conduite peut aller jusqu’à 3 ans, en plus des 6 points retirés et des 1500 euros d’amende maximum.
Un permis “indispensable”
Si l’homme ne conteste pas son excès de vitesse, il entend néanmoins récupérer son permis de conduire. Il assure que celui-ci est “indispensable à l’exercice de son activité professionnelle”, et que cette punition lui ferait perdre son travail. Pour appuyer sa requête, l’automobiliste soutient qu’il n’a jamais commis un tel excès de vitesse. Pourtant selon L’Orne Hebdo, il a déjà commis 7 infractions amenant des pertes de points, dont 5 excès de vitesse… Le tribunal de Caen a sans surprise, rejeté sa demande.