Kia e-Soul : notre essai en 4 points
Après la version thermique du petit SUV Soul, Kia lance en Europe sa déclinaison électrique, le e-Soul. Nous l’avons essayé pour vous. Retour en quatre points sur celui-ci.
Après la version thermique du petit SUV Soul, Kia lance en Europe sa déclinaison électrique, le e-Soul. Nous l’avons essayé pour vous. Retour en quatre points sur celui-ci.
Design, motorisation, autonomie, prix : retour en quatre points sur notre essai du Kia e-Soul à l’occasion de son arrivée en Europe.
Le Kia Soul ne laisse pas indifférent : on aime où on déteste mais force est de reconnaître que son dessin cubique, digne d’un fourgon blindé, ne fait pas dans la dentelle. Parmi les différences marquantes avec les précédentes générations, on note les feux arrière qui englobent presque entièrement le hayon, et les projecteurs avant très fins. Côté gabarit, même s’il s’allonge de quasiment 6 cm, le Soul reste, avec 4,20 m, parfaitement adapté à la ville.
Petit mais costaud puisque ce sont 204 ch qui se logent dans le SUV coréen. Bon, d'accord, l’e-Soul pèse 1 682 kg à vide et ne peut ainsi prétendre jouer dans la cour des véhicules sportifs. Cela étant, ses accélérations et reprises ne souffrent pas la critique. Seule frustration, l’absence de bruit moteur gomme une partie des sensations.
Durant notre essai, après quasiment 200 km d’essai, l’écran digital de 10,25’’, qui reprend l’ensemble des fonctions multimédia, nous indiquait une autonomie d'encore 220 km. Autrement dit, l'e-Soul est parfaitement capable en conditions normales de dépasser les 400 bornes sans tomber en rade.
Seuls 400 exemplaires du Kia e-Soul seront disponibles en 2019 pour la France. Il faut dire qu'au prix de 35 300 € pour cette version de 304 chevaux, ils n'auraient peut-être pas été des dizaines de milliers à se ruer vers le modèle…