Cela vous a peut-être échappé, mais le Diesel n’est plus vraiment le carburant encensé par le pouvoir public. Que ce soit en France ou ailleurs en Europe, le Diesel est désormais dans le collimateur des gouvernements. Et cela se ressent sur les ventes de voitures neuves : au second trimestre 2018, la part de Diesel est passée à seulement 36,3% (contre 45,2% sur la même période l’an passé), bien loin des 56,7% qu’affichent les modèles essences (source : Association des constructeurs européens d'automobiles). Et pourtant, toujours selon l’ACEA, les Diesel modernes affichent des taux d’émissions de NOx largement inférieurs à ceux imposés par la nouvelle norme Euro 6d-TEMP actuellement en vigueur.
Pour mener cette étude, l’ACEA a testé 270 modèles en conditions réelles de circulation, conformément aux tests WLTP. L’ACEA insiste que le spectre de véhicules étudiés était très large, sans pour autant préciser les modèles retenus. Ces 270 Diesel modernes ont tous rempli les exigences actuelles en matière de NOx, qui fixent un seuil maximal de 168 mg/km. Mais la plupart des modèles vont encore plus loin en respectant même le taux de 120 mg/km qui sera l’objectif en 2020. Encore une fois, l’ACEA ne précise pas quels sont les modèles à avoir rempli cet objectif. Dommage car l’ACEA rassemblant les principaux constructeurs automobiles, y compris les filiales européennes des constructeurs en dehors du Vieux continent, un peu plus de transparence n’aurait pas été de refus.
La majorité du panel testé remplit les objectifs de 2020
Pour mener cette étude, l’ACEA a testé 270 modèles en conditions réelles de circulation, conformément aux tests WLTP. L’ACEA insiste que le spectre de véhicules étudiés était très large, sans pour autant préciser les modèles retenus. Ces 270 Diesel modernes ont tous rempli les exigences actuelles en matière de NOx, qui fixent un seuil maximal de 168 mg/km. Mais la plupart des modèles vont encore plus loin en respectant même le taux de 120 mg/km qui sera l’objectif en 2020. Encore une fois, l’ACEA ne précise pas quels sont les modèles à avoir rempli cet objectif. Dommage car l’ACEA rassemblant les principaux constructeurs automobiles, y compris les filiales européennes des constructeurs en dehors du Vieux continent, un peu plus de transparence n’aurait pas été de refus.