Notre pays ne mérite pas être l'otage d'une classe de politiciens affairistes, irresponsables qui ont fini de placer, sur les voies de garage, la crème de notre pays, c'est à dire, la jeunesse. Cela par une manipulation et une instrumentalisation de cette couche juvénile inconsciente et indifférente de son propre sors.
Au-delà de ce diagnostic dépourvu d'émotion et de parti-pris, fait dans le silence des réservoirs du savoir, ce qui préoccupe le plus la jeunesse Guinéenne, c'est comment s'en sortir de cette situation de léthargie totale.
Le moment est venu d'opérer un changement dans nos comportements et nos actes vis-à-vis de notre classe politique. Il faudra que notre volonté de reconstruction de notre pays soit plus forte que que leurs désir de nous maintenir dans bas-fonds.
Soyons résolus à agir pour restaurer l'équité sociale, parce que ce qu'il faut redresser est énorme. La seule erreur, c'est de vouloir en seul jour, faire en sorte que tout soit rectifié, repris et remis à l'endroit. Qu'il y ait de la tension sociale ou des convictions sociales, cela indique qu'il y a de la vie dans notre pays.