A Briançon, la survie des migrants passés par la montagne
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A Briançon, la survie des migrants passés par la montagne

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Reportage

A Briançon, la survie des migrants passés par la montagne

LE MONDE |

A Névache, à 1700 mètres d’altitude, les villageois recueillent les migrants après leur passage de la frontière italienne dans le gel et la neige par le col de l’Echelle. A Briançon, dans la vallée, les bénévoles soignent, aident, écoutent les migrants. Le photographe Bruno Fert a suivi cette solidarité pour Le Monde.

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Sur la route des migrants venus de Bardonnèche, un panneau vu du côté italien, avant le col de l'Echelle, à plus de  1700 mètres d’altitude.
Deux mille migrants on été accueillis à Névache depuis juillet. Le col de l’Echelle a retrouvé sa vocation séculaire de point de passage entre l’Italie et la France.
A Briançon, où se côtoient 35 nationalités, on s’occupe de l’étranger depuis des décennies.
A la  maison commune du Collectif réfugiés solidaires,  « chacun participe selon ses envies et ses compétences », comme cette infirmière bénévole.
Depuis l’été, l’hôpital de Briançon a déja soigné 300 migrants, comme ce jeune secouru dans les montagnes alors qu'il tentait de rejoindre la France depuis l'Italie.
Une chambre collective du centre d’accueil pour migrants de Briançon.
Justin déblaie la neige devant "Chez Marcel", un lieu d’accueil alternatif pour migrants.
Cette maison, investie et rénovée par un groupe de personnes liées à différents collectifs et associations de la région, peu héberger les migrants pour une plus longue durée que le refuge.
Les migrants sont nourris, soignés, vêtus et écoutés pour quelques jours, à la maison commune du Collectif réfugiés solidaires.
Deux jeunes migrants marchent dans Briançon pour rejoindre "Chez Marcel", un lieu d’hébergement alternatif pour migrants où ils pourront rester quelques jours.
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Sur la route des migrants venus de Bardonnèche, un panneau vu du côté italien, avant le col de l'Echelle, à plus de  1700 mètres d’altitude.

Bruno Fert pour "Le Monde"